Ce folklore et ces croyances du Berry, dans lesquels elle avait baigné si jeune, l'écrivaine, même si elle eut le souci de leur donner une explication rationnelle, ne les dénonça jamais comme des superstitions, ayant bien trop de respect pour une tradition orale qui avait jalonné son enfance en lui laissant une forte impression, et qui, elle le savait, racontait l'histoire secrète et profonde du peuple de France, dédaignée par les livres académiques alors même qu'elle puise aux temps les plus reculés et est une clef pour les appréhender.